Habe ich den wunden Punkt getroffen, als ich im Stadtrat dem Sozialdirektor die Leviten gelesen habe?
Der Sozialdirektor wirft mir im Journal du Jura vor, ich hätte ihn unter der Gürtelline angegriffen. Ist das so? Ich denke nicht. Gleichzeitig sagt er, ich hätte keine konkreten Vorwürfe. Die Journalistin zeigt mit der nächsten Frage das Gegenteil. Und unser Sozialdirektor hat keine Antwort:
„Lors de la dernière séance du Conseil de ville, Leonhard Cadetg (FDP) vous a reproché d’avoir fait de fausses promesses (réduire la quotité d’impôt) et de ne pas faire votre travail correctement. Vous n’avez pas répondu à ces attaques. Pourquoi?
Ces attaques étaient au-Dessous de la ceinture et il n’avançait rien de concret. J’avoue ne pas avoir tout su en détail de la situation de la Ville, il y a un an, avant les élections.
Leonhard Cadetg vous a concrètement reproché de vouloir créer des postes alors que l’administration est contrainte de faire des économies.
Pour mettre en oeuvre les mesures concrètes pour réduire le taux de bénéficiaires de l’aide sociale, il faudra des ressources, du personnel et des locaux. Nos collaborateurs doivent déjà accomplir davantage de tâches. Les charger encore plus ne serait pas supportable. C’était donc justifié.
Le radical s’est fait le porteparole de certains qui avaient de grandes espérances en vous élisant et qui ne voient toujours rien venir. Les attentes des électeurs étaient donc trop grandes?
Il est vrai que les gens espéraient des résultats rapides. J’attendais aussi beaucoup de moimême, peut-être trop. Le temps d’analyse est nécessaire pour trouver les meilleures solutions. Les décisions prises dans l’urgence ne sont jamais les bonnes.
Etes-vous à la hauteur de cette tâche?
Je me sens à l’aise dans ma Direction. Ce n’était pas facile d’apprendre les rouages de cette nouvelle fonction. Mais en neuf mois, j’ai bien progressé. Et je connais maintenant la plupart des affaires de la Direction.“ (Journal du Jura, 02.11.13, S.5)
Er ist der Aufgabe schlicht nicht gewachsen. Ein Beispiel aus dem Interview? Mit dem Sozialinspektor gehe die Zahl der Sozialhilfebezüger zurück. Es sind zurzeit 6000, geschätzt werden 120, die missbräuchlich Unterstützung verlangen. Erwischt man sie, sinkt die Sozialhilfequote einmalig um 2 Promille. Das ist nichts.
Entschieden mehr ist gefordert! Sofort kann die Quote nicht gesenkt werden. Aber durch hart arbeiten, intelligent analysieren und rasch entscheiden kann der Erfolg kommen. Der Sozialdirektor hatte Zeit. Er hat versprochen, dass er die Steuern senkt, dass er die Sozialhilfequote sozialverträglich drückt, dass er handeln wird. Wie das wohl zu beurteilen ist?
Wir verlangen keinen Erfolg. Wir verlangen nur, dass Versprechen gehalten werden. Es war kein leeres Versprechen, man kann es. Ansatzpunkte sind längst bekannt, wie sie zum Beispiel Andrea Sommer in der BZ zitiert.
Liebe SVP, wie lange schaut ihr dem noch zu?
Zusatzfrage: Stellt ihr euch einer wirklichen Wahl, wenn es um den Ersatz eurer Enttäuschung im Gemeinderat geht?